"Dès que luit l’aube vermeille. Ainsi que l’oiseau des champs, Libre, heureuse, je m’éveille Pour te fêter dans mes chants, Toi, qui fis de ma demeure Un lieu d’amour et de paix, Je te bénis a toute heure Seigneur, pour tant de bienfaitsComme une eau fraîche et limpide Je vois s’écouler mes jours. Jamais l’ouragan perfide Ne vient en ternir le cours. J’ai consacré ma nacelle, Afin de la préserver, Et Dieu qui veille sur elle Voudra toujours la sauver."
A. Bord (Bordeaux)
1865
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