M. Lucet a adressé à un de ses amis de Constantine la lettre suivante : Versailles, 31 octobre 1872. J’ai laissé les journaux raconter à leur aise l’entrevue qui a eu lieu jeudi dernier dans le cabinet particulier de M. Thiers, entre l’amiral de Gueydon et moi, et je n’ai pas cru devoir intervenir dans leur polémique, par pure déférence pour le président de la République, à qui je n’ai pas voulu donner le regret d’avoir trop compté sur ma discrétion et mon savoir vivre.
impr. de L. Marle (Constantine)
1872
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