"Paris s’éveille à peine. Depuis de longues heures déjà, les voitures des maraîchers ont cessé de dévaler vers les halles. C’est l’été, les becs de gaz se sont éteints. Les faubourgs commencent à s’animer, les rues s’emplissent du bruit de ferraille clinquante qui signale le passage des voitures des laitiers, et, de place en place un marchand de vins matinal enlève les volets de sa boutique.Les chiffonniers, eux, sont au travail depuis longtemps."