Nouvelle correspondance de C.-A. Sainte-Beuve
"(1818) Mon cher ami, Je pense sans cesse à toi ; et, étant aussi séparé de mes parents, je ressens plus que jamais le besoin d’un ami, et je n’en puis trouver tel que toi. Je ne puis me rappeler sans une douce sensation ces petites promenades que nous faisions sur le sable, et qui nous délassaient si agréablement le corps et l’esprit. La pension où je suis est, au moins, semblable à celle de M. Blériot ; mais le fils du maître de pension est un excellent jeune homme et ne manque pas de connaissances."
Calmann Lévy (Paris)
1880
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