"A mon père Maxime Lorin. Je rêve d’un salon haut d’au moins six étages, Long corridor sans fin, large de trente pas, Où la foule fluide aux gais papillotages Viendrait charmer mes yeux de ses houleux appas. Il aurait pour plafond l’azur du ciel lui-même : C’est par là qu’entrerait tout l’air à respirer, Et chacun y pourrait, qu’il m’ignore ou qu’il m’aime, A toute heure de jour ou de nuit, pénétrer."
P. Ollendorff (Paris)
1884
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