"A M. EUGÈNE LOUDUNQuand la jeunesse fuit, l’amitié d’une femme Est profonde et suave, elle touche à votre âme Comme le chaud rayon touche les nids d’oiseaux, Comme la brise en mai caresse les roseaux ; Le duvet du fruit mûr est respecté par elle : Tel que le papillon craint d’effleurer son aile Au contact parfumé du calice des fleurs, La candide amitié conserve ses couleurs. Chaste, pure toujours."
A. Lemerre (Paris)
1867
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