La vie et les salaires à Paris
"Dans quelques paroles charmantes prononcées naguère par lui à l’inauguration d’un des asiles de nuit fondés par la Société philanthropique, M. Cherbuliez rapportait en ces termes un apologue emprunté à Calderon : « Un pauvre cheminait un jour sur une grande route, tenant à la main un paquet d’herbes qu’il avait cueillies le long des haies pour en faire son repas. Celles de ces herbes qui étaient trop sèches ou qui lui semblaient trop amères, il les jetait dédaigneusement sur son chemin."
A. Quantin (Paris)
1883
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