"A Eugène Ledrain. PENDANT les dernières chaleurs torrides d’août qui faisaient fuir à tire-d’aile comme une bande de ramiers tous les Parisiens, qui à la campagne, qui sur les bords de la mer, j’éprouvai, moi aussi, le besoin d’aller me reposer un peu des soucis et des ennuis de toutes sortes auxquels notre pauvre humanité est en butte, et dont j’ai ma bonne part tout comme les autres.Je me dirigeai donc un beau jour chez un de mes amis, qui possède une charmante petite maison de campagne dans le Midi."
A. Lemerre (Paris)
1881
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