Heures de recueillement
Poésies
"Un autel s’élevait sur la place publique.Ni Paros, ni le PentéliqueN’avaient fourni le dieu qu’il fallait adorer. La main de Phidias, celle de Praxitèle N’avaient point placé là de figure immortelle Qu’un barbare en passant dût lui-même admirer.Quelqu’un avait jadis, sur l’autel solitaire,Écrit deux mots pleins de mystère.L’étranger s’approchait ; il les lisait tout basPensif, puis s’éloignait, trop souvent sans comprendre."
Vrayet de Surcy (Paris)
1860
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